Hôtel Palladia

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Hôtel Palladia et l’Orchestre de chambre de Toulouse

L’Hôtel PALLADIA a le plaisir de recevoir l’Orchestre de Chambre de Toulouse

Orchestre de chambre de Toulouse à l'hôtel Palladia

Ainsi les polyphonies classiques des grands compositeurs tels que Vivaldi, Mozart, Bach, Schubert
seront à l’ Honneur à travers quatre concerts incontournables de musique classique

Ces rendez-vous dominicaux peuvent être accompagnés d’un déjeuner gourmand

Dimanche 11 juin 2023 à 11h00

Concert gratuit OCT, Florilège d’œuvres de toutes les époques.
Uniquement sur réservation

Dimanche 3 décembre 2023 à 11h00 : Bêtes de Pub

Vous connaissez forcément tous ces airs !

Ils ont été repris pour tant de films ou publicités que vous les avez forcément entendus sans peut-être savoir qui avait composé quoi.
Cet usage utilitaire de la musique n’a rien de choquant. Depuis la nuit des temps, la musique sert à faire danser les gens, accompagne les histoires que les hommes aiment à se raconter… ou plus effrayant leur donne du courage au combat.
Dans un registre moins guerrier, combien de « joggeurs » et « joggeuses » ne courent qu’en écoutant de la musique avec une oreillette ? La musique détient un pouvoir hypnotique qu’il est tentant d’utiliser, et quand un « air » est particulièrement réussi il pénètre durablement notre psyché. Les compositeurs baroques, entre 1550 et 1750 environ, ont même théorisé cet usage, en affirmant que la musique exprimait nos « passions » quand bien même ils ne sont pas d’accord entre eux sur le nombre et la nature de ces passions.
Il ne faut malgré tout pas exagérer la capacité manipulatoire de la musique : cela ne marche que si l’on accepte de se laisser faire et de s’y abandonner !

Dimanche 3 mars 2024 à 11h à l’Amphithéâtre : Beethoven, la sonate à Kreutzer

Initialement dédicacée à un autre violoniste, c’est finalement à l’immense compositeur et violoniste français Rodolphe Kreutzer que Beethoven dédie sa sonate. Ironie du sort, Kreutzer ne jouera jamais cette sonate que, comme nombre de ses contemporains, il jugeait trop ardue pour le public. Elle fait pourtant aujourd’hui partie des œuvres les plus jouées de Beethoven, du moins dans sa version violon-piano. C’est Beethoven lui-même qui en fera la version pour cordes que nous vous présentons ici. Comme nous vous l’avons souvent démontré au cours des 20 dernières années la transcription fait intégralement partie du processus de création…au point que comme ici, les compositeurs se transcrivent eux-mêmes ! Une vision « précieuse » de la musique voudrait nous faire croire que ce qui a été prévu pour un instrument ne pourrait en aucun cas être joué par un autre et qu’une transcription n’est qu’un pis-aller. Mais toute l’histoire de la musique nous démontre le contraire, au point que parfois la version transcrite est bien meilleure que la version originale.
Difficile de parler de Beethoven sans évoquer Mozart, bien que le second n’ait pas su voir le génie du premier. Dans la version d’origine de cette « concertante », il est arrivé souvent que Mozart lui-même tienne la partie principale d’alto. Sur ce sujet aussi, ces immenses compositeurs-interprètes des siècles passés sont plus aventureux que ce qu’on imagine. Mozart et Beethoven…le qualificatif de « classiques » leur va-t-il finalement si bien ? Nous les voyons plutôt comme des créateurs capables de bousculer tous les conformismes ! À vous de juger !

Dimanche 5 mai 2024 à 11h à l’Amphithéâtre : Viva Italia

Initialement dédicacée à un autre violoniste, c’est finalement à l’immense compositeur et violoniste français Rodolphe Kreutzer que Beethoven dédie sa sonate. Ironie du sort, Kreutzer ne jouera jamais cette sonate que, comme nombre de ses contemporains, il jugeait trop ardue pour le public. Elle fait pourtant aujourd’hui partie des œuvres les plus jouées de Beethoven, du moins dans sa version violon-piano. C’est Beethoven lui-même qui en fera la version pour cordes que nous vous présentons ici. Comme nous vous l’avons souvent démontré au cours des 20 dernières années la transcription fait intégralement partie du processus de création…au point que comme ici, les compositeurs se transcrivent eux-mêmes ! Une vision « précieuse » de la musique voudrait nous faire croire que ce qui a été prévu pour un instrument ne pourrait en aucun cas être joué par un autre et qu’une transcription n’est qu’un pis-aller. Mais toute l’histoire de la musique nous démontre le contraire, au point que parfois la version transcrite est bien meilleure que la version originale.
Difficile de parler de Beethoven sans évoquer Mozart, bien que le second n’ait pas su voir le génie du premier. Dans la version d’origine de cette « concertante », il est arrivé souvent que Mozart lui-même tienne la partie principale d’alto. Sur ce sujet aussi, ces immenses compositeurs-interprètes des siècles passés sont plus aventureux que ce qu’on imagine. Mozart et Beethoven…le qualificatif de « classiques » leur va-t-il finalement si bien ? Nous les voyons plutôt comme des créateurs capables de bousculer tous les conformismes ! À vous de juger !

Tarifs & Réservation

Concert seul : 25 euros
Concert & déjeuner : 55 euros

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